Mindkind - Database philo/mkd_sadness.txt.

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     . 11.17   Sadness in reflexion                           \        \     !
     .             aka                                         \        \    .
     ;             "I'm in love with my sadness"                \        \   :
     :                                                           \        \  :
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L'id�e  de  se tuer   est tellement  unique en  soit, qu'on  la rejette le plus
souvent possible,  question  de garder  notre esprit pr�t et vide de tout  sens
lorsque l'occasion va se pr�senter.

*

Aujourd'hui je veux mourir,  demain je serai  s�rement  encore  en
vie; je me vois donc dans l'obligation de d�primer.

*

On  a  une  conscience lorsque l'on est conscient d'en avoir une.

*
 
Mort : certificat que l'on  re�oit pour approuver que l'on � vie.

*
 
�tre  n�e:  devoir  porter  le  fardeau  de  devoir faire quelque chose.

*
  
La  l�chet�  n'est  pas  un �tat  physique,  mais un mode de vie.

*

Le  but  du  jeu  est  de contredire la majorit�, pour ensuite y
trouver une raison valable. 
 
 
*
 
Ne pas �tre aim�; ne rien devoir � personne : l'id�al.

*

Suis-je occup� � vivre ou � mourir?

*

Dieu: n�ant lui-m�me.

*
 
L'homme  qui   consacre  sa  vie  aux autres  a tr�s bien compris
l'erreur de sa naissance.

*
 
Ne cherchez pas le bonheur, il ne vous cherche pas lui-m�me.

*

Dictionnaire  :  d�finition   de   certains   mots   par   X,  et 
controvers�e par Y.

*

C'est  dans  les  moments  les  plus sinistres  que  l'on  abouti
� quelque chose ... le go�t de la fin, de la d�faite.

*

On  comprend  toujours  les  choses  trop  tard,  pour  qu'en fin 
de compte, on ne  soit  qu'un  pseudo-activiste ...  un  penseur,
un �crivain.

*

Aussi d�pressif soit-il; aussi intelligent soit-il.


*

Avoir  �  vivre,  devoir  construire  quelque  chose,  jour  apr�s
jour, pour qu'en fin de  compte,  comme  un  mieux  que rien,  on
finisse  de  la  m�me  fa�on  que  celui qui avait tout  compris,
que celui qui n'a rien fait, qui na rien construit ... 

*

�tre: prendre conscience que l'on a une conscience.

*

Ton ennemie: reflet de ton image.

*

Nous  finissons   tous  au   m�me  endroit,  t�t ou  tard, et ce, 
pour l'�ternit�. Le malheur: finir � cot� de son ennemie.

*

Pseudo    syst�me   socialiste ,    population    non-consciente;
population heureuse...

*

Peut-on   avoir  moins  de conscience que quelqu'un qui  n'ai pas
n�e?

 *

Mettre  en  enfant   au  monde:   le   crime  pas excellence;  la 
vengeance d'avoir �t� n�e.

*
   
Faute de travailler davantage, je continue � croire que  j'ai  du
talent dans quelque chose d'encore inconnu ...

*

N'acceptez pas un service, vous devrez, un jour  ou  l'autre,  le
rendre.

*

A vous  qui ne pouvais pas lire se texte, fiez-vous sur moi, �tre 
humain est un trop gros fardeau pour na�tre.
                                                           
*

L'id�e  de  me dissoudre dans le mot �tre me semble �tre une perte
de  temps  inconcevable. 

*

La  d�prime  est  l'�tat m�me de la rencontre avec l'id�e du 
non-�tre.  

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L'histoire  de  notre  pays,  et des  pays voisins, nous permet de percevoir la
r�alit�  sociale   d'en  laquelle   les  habitants   y vivent.    On  s'attache
�norm�ment  aux  victoires de notre pays, et on essai,  tant  bien que mal,  de
trouver  des  raisons   aux d�faites. Par  cons�quent,  les  am�ricains   n'ont
aucune  raison  valable de   se  laisser  marcher sur   les  pieds;  alors  que
les fran�ais de  France  ne  peuvent   faire  autrement   que   regretter leurs
d�faites,  et   d'en   trouver   les   raisons.   Plus    un   pays  gagne   en
victoires,  plus  il   semble  facile  de   continuer  � gagner.   Alors  qu'un
pays  qui  perd chaque jour, la d�faite ne semble point �tre apprivoisable.  On
a  beau   perdre  mainte    et une   fois,  cela   semble  toujours  aussi  dur
que  la  premi�re fois,  qu'�   la  premi�re  d�faite.  L'�volution d'un  pays,
avant qu'il ne commence �  perdre,   ou  gagner,  ce  fait  en  fonction  d'une
personne, et  la  victoire  ou  la   d�faite  est relatif � la puissance  d'une
pens�,   d'un  r�ve.   Certain  pays   sont  donc  devenus puissant    car  le
premier   fondateur   avait   d�cider d'�tre puissant,  et,  du m�me  fait,  il
se  croyait  capable   de mettre  son   r�ve  en  action.   Pour  d'autre pays,
ceux qui ont accumuler    d�faite   apr�s   d�faite,  leurs  incapabilit�s    �
croire  �  ce  qu'il  r�ve  est  la cause de d�faites  successives. Alors,  les
pays perdant  dans  l'histoire   ont  �voluer   avec  une  v�rit� acquise  avec
les  ann�es :  se  qu'on  r�ve  n'est qu'un r�ve.  Comment   leurs  prouv�   le
contraire?   L'histoire   vient  leur  prouv�  qu'ils  ont  raisons;   que   la
victoire  n'est   gagner que  par d'autres,   et  qu'ils   ne  sont   pas de se
groupe.  Pour les  habitants   de   pays   victorieux,  leur  v�rit�  est  tout
autre.   Gagner,   c'est   pour  eux.   Comparativement   aux  perdants qui  ne
peuvent   pas   comprendre   les    victorieux,   les gagnant  r�ussi  facile �
comprendre  pourquoi  certains  pays  n'ont  pas eut de succ�s;  ils   attribut
�  leurs  nombreuses  d�faites un manque de  vouloir,  un  manque  de  volont�,
et   un  manque   de travail.   Ce  qui    succ�de   �tait    �  pr�voire:   la
France n'a gu�re  dig�rer   leurs  nombreuses  d�faites,  et faute d'essayer de
gagner, car  ils   croient  que  gagner   ce n'est pas  pour eut, ils  essaient
tant   bien   que  mal   d'apprivoiser   leurs  d�faites  ant�rieures,  et  les
d�faites  r�centes.  Et de  ce  fait, perdre est  donc pour eux;  la   d�faite,
ils  vont  finir   par  l'aimer. Sans   pour  autant  l'apprivoiser.    Ne  pas
gagner deviendra  une normalit�,  et personnes  ne pourra   les  m�priser.  Les
pays  les  plus gagnant,  perdre  n'est   pas  une   norme,   alors que  gagner
l'est. Leurs  habitants  n'ont  aucunes   raisons  de  se  laisser tanner   par
d'autres,  et  il  associeront  leurs   victoire � la cause  de   leurs  rages.
Ils  ont subit  un  lavage de cerveau � l'�cole  dans  leur  cours  d'histoire;
gagner, c'est ce que  le pays �  �t� capable, c'est donc  se  que  vous   serai
capable  de faire.  Par   cons�quent,   les   perdants   ne    sont   nullement
accepter,  et les  gagnants,  tricheurs   ou non,   seront  plac�s sur  la plus
haute  marche  du  podium.   Les  2  groupes  auront beau essayer de   s'aimer,
ils  ne   r�ussiront  point.   Alors on  fera  appel   �  une   forme  d'humour
nouvelle  pour   dire ce  que l'on   pense  r�ellement.   Alors  que  m�me,  ce
qui  est le  plus dommage,  personne    de   n'autre   soci�t�    nouvelle  n'a
aider  directement   aux   victoires    anciennes.    C'est    ce    que    les
perdants  continus  d'essayer de  prouver,   et  c'est  ce que les  gagnants ne
veulent pas comprendre ...

                                                           c4ndu.