________________________________________________________________ ____ __ __ / ___________________________________________________________ ____ __ _ / ` \ / \[10]/ + ,\_____ ___/ . ` |\/ , \__/ . \____ /:/=[ Un affaire de philosophie ] =\:\ _____/ ` x || , . " :X \_______________________________ ____ ____ / , ` ` || + , () . x , . ` ' ` \_ \ ,\\_ +\_ \ 'M ` | . || ` | ` , ` , + , ` ,--, + . \\_ \_ \ , \\_ K -+- / |+ -+- . , ` , ,',/ ,'. \_ \ . \\_ \_ \ - | ` / . | ; + + . ` | : . :`` ,_): ' ` \\_ \_ \ \\_` 1 , / ` . . x , .-=+=- `. ,. ,' ` , \_ \ + \\_` \_ \ 1 /\_____ x ' , . . X | ` `--' ` ` \\_ \_ \ , \\_ 1 + \\_ \___________________ , . . ` , + ' , , ; x ._\ \___\\___\ \ . \_ \ \__________________________________/ \ ` , \\_ /:/=[ Aka: ]=\:\ \ \__\__________________________________________ ______________________________ \` \__\ /__/ \\_ /:/=[ Qwzykx ]=\:\ _// \__\________________________/__/ C�est dans un esprit de d�couverte et de r�jouissance, que je vous propose cette introspection dans les m�andres de la r�alit�, dans toute son intemporalit�. Dans cet article plut�t volumineux en perspective, on traitera de notre insignifiance, de notre, petitesse, du temps qui fille au compte gouttes depuis des milliards d�ann�es, donc avis � tout les �litismes de ce monde, cet article peut peser lourd sur votre ego� lisez donc avec mod�ration, je voudrais quand m�me pas �tre responsable d�un d�bordement d��motion de votre part. Un article de philo ... un autre, mais par ou commencer!? Quoi dire, quoi tenter d'expliquer � des personnes tout � fait inconnue... Qui ont des buts diff�rents, des ambitions plus ou moins louables... et qui ont tous leurs vendredi soir de r�ve ou de merde bien a eux ;) Mais en dehors de tout ces inconnues qui sont inexorablement le reflet de l'incertitude de ce qu'on vois chez cette magnifique fille qui se presse de nous servir un verre, ou du d�-int�r�t le plus total qu'on �prouve envers le pompiste du coin, dans tout ca y doit bien y avoir un lien commun, un int�r�t commun... apr�s tout la map est la m�me pour tout le monde, l'�poque aussi, et bien que nous sommes tous beaux et unique comme des flocons de neiges, notre unicit� s'�tant fondamentalement � la pyramide de Maslow :) Mais derri�re tout ca, on d�sir plus le bonheur et les fous rires absurdes au malheurs et aux larmes acides. Qu�on soit Chinois ou Australien, on pense fondamentalement � la m�me chose, soit m�me avant tout, et c�est pas mal en soit de penser � sa peau avant celle des autres, d�avoir plus d�estime du monde qui vous entoure que d'estime envers de pures inconnues.. c�est toujours dans un but d�guis� de survie social.. et fondamentalement personnelle ;) On a tous une culture diff�rente, mais ou la diff�rance a peu � voir avec nos valeurs essentiels (besoin Physique, besoin de s�curit�, besoin d�appartenance, d�estime de sois, et d�accomplissement) On oublie plut�t bien dans la modernit� du monde qui nous entoure l�essentiel de ses concepts. Suffit d�une nuit seul dehors dans une ville inconnue pour avoir un d�balancement marquer de cette pyramide. Une situation que bien des touristes tentent d��viter � tout prix d�ailleurs;) Un model vraiment utile pour plusieurs corps militaires qui s�adonne � des techniques de brainwashing en r�gle.. ici je vous laisse tirez vos conclusions.. Malgr� tout, chaque personne a sa petite vision du monde, ses petites th�ories absolue sur ce qui l�entoure. De toutes ces grandes incertitudes on vois le monde qui nous entour sous diff�rents angles, autant d'angles que de paire d�yeux qui le regarde, trois dimensions qui nous entoures ou tous semblent s'�tre habitu�s, d�placer des objets, regarder des personnes, cr�e en modifiant l'�tat de la mati�re. Le temps est peut-�tre la seule dimension tangible qui nous diff�rencie les uns des autres, car apr�s tout il faut une �valuation du temps dans un autre mode que celui pr�sent pour le d�celer, pour esp�rer le d�placer, le modifier. Et ce qui diff�rencie une ou plusieurs personnes entre elles se d�fini plus par le temps pass�e qui nous est propre que par les trois autres dimensions pr�sente� un jolie chandail, une jupe courte, un chapeau melon, des bottes de cuirs?! Tant d'�l�ment qui placer dans un bars, dans un 2 1/2 ou � la piscine municipal ne sont qu'aguicheurs, qu'�nigmatiques, qu'intrigants. Mais le temps a se pouvoir d'user l'intrigant, de polir l'int�r�t, apr�s 40 fois une situation absurde passe au clicher... un �v�nement d�plaisant deviens une constante, un fou rire deviens un souvenirs. Et c'est ici que tout le monde prend un chemin diff�rent dans la 4e dimension, les souvenirs sont des �l�ments d'exp�riences pr�c�dentes, des situations qui tendent � se polirent par leurs simple re-introduction. Suivant une courbe d'apprentissage 1/exp nous apprenons rapidement les �l�ments cl�s de ce qu'une situation a � nous offrir, avec le temps les connaissances pertinentes ne servent qu'� am�liorer l'incertitude fondamental de la courbe d'apprentissage. Vous vous tapez une game de counterstrike (ici exemple vaste tirer d'un jeu bien connu ... (tant qu�� prendre un exemple), il vous faut en tant que noob, utiliser vos points d'adaptations pour manier les armes, se familiariser avec les touches de facon symbiotique puis ensuite il faut �muler le "tirer sur l'autre de facon efficace" en se servant de tout ces jeux pass� qui ont un principe plut�t similaire, mais ou la dynamique du jeux, du engine est diff�rents, ici on peut d�celer que l'apparence d'une courbes de connaissance est d�j� re-introduite comme �l�ment d'adaptation affin de gagner du temps de sp�cialisation avec se nouveau engine, puis viens ensuite le d�fi de conna�tre les maps, en soit le m�me test que des milliers de rats on fait bien avant vous. Vous vous rappelez la vitesse qu'ils ont mis � les apprendre!? Non mais pour la grosseur de cerveau et la comparaison associ�e je crois pas que ce sois un probl�me pour le commun des mortels. Ce qui faut retenir c'est peut-�tre justement la facilit� qu'on a � se mouvoir dans un environnement restreint et � m�moriser des �l�ments de d�cors affins de s'introduire dans un monde virtuel et s'y sentir en contr�le. Puis viens finalement les d�tails superflues qui sont paradoxalement les points cl�s du jeu, comme poser un c4 � un endroit donn�e. Ou pensez � tous ces clowns de cirque qui sont en �quilibre debout sur un uni cycle, une tache impossible pour le commun des mortels, et qui par la simple pratique devient envisageable. Imaginez le nombre de traitement que le cerveau d'une personne comme ca doit faire pour �tre en �quilibre... tellement il ne pense � rien.. il ne fait que sentir le moment dans sa t�te.. comme si le cerveau processerait tellement d'information et que la pratique serait tellement aboutie, que les informations n�cessaires � l'accomplissement de l'action serait int�gr�es dans son cervelet directement au centre de toute actions coordonn�es destin� � le maintenir en �quilibre, tout ca dans une boite de 15cm2. Et si on dis � ce gars la de faire la m�me op�ration, mais dans un endroit ou il devra combattre un vent de 40 Km/h de l'est, naturellement il va essayer de compenser avec toute la pratique qu'il a cet nouvelle contrainte et il est ici mieux placer que n'importe qui pour r�ussir. Le sens du d�fi pour lui rentre en ligne de compte � se moment pr�cis, le reste �tait de la pratique la il faut se fier sur la pratique, et l'adaptation spontan�e � une contrainte. Y�a beaucoup de personnes dans le monde qui nous font m�diter sur le pouvoir limit� du corps humains, et � quel point ils r�ussissent � faire des mouvements et articulations avec une tel machine, d'autre se contente d'utiliser que le raisonnement d'une tel machine, et pour en venir � raisonner sur des concepts divers, on se doit bien de le faire dans un lieu et un moment pr�cis sur terre;) Importance du lieu de la cr�ation, par ceci je tiens simplement � exposer que certains lieux sont plus propices � la stimulation intellectuelle, ou sont plus �vocateurs de passions instantan�s, en plus le lieu en question peut �tre investi de plus de chaos qu'un sous-sol en b�ton froid... tout ce chaos qui incite votre esprit � divaguer sur divers �l�ments qu'il �voque. Le but est en fait peut-�tre plus de s'immerger dans des situations remplies d'�l�ments impr�visibles (� un certain niveau) ou la profondeur d'un texte aura comme renfort l'�l�ments de l'analyse d'une parcelle de chaos. La loi de Murphy est en soit un truc pessimiste, mais si on cherche � trouver son cote positif, souvent confondu avec le destin, on y trouve l'opportunisme qui est la cl� qui ouvre l'option d'agir sur un �v�nement donn�e, le choix reviens encore au d�tenteur de cette cl�, choix �ph�m�re la plus pars du temps. Et si on divague sur le sens m�me de la m�taphore de la cl�, outil important mais pas n�cessairement essentiel pour ouvrir une porte (porte fronti�re qui nous s�pare d'un point de vue essentiel � la qu�te de nos but et envies). La cl� en soit est le moyen qui combine efficacit� et rapidit�, situation parfaite qui sert bien un opportuniste averti, par contre le lockpiking ou le d�vissage de serrure permet souvent d'obtenir le m�me r�sultat. H�las le temps est une contrainte importante surtout qu'il faut complexifier de beaucoup une situation id�ale, ne serait-ce qu'en temps imm�diat et pr�alable.. Donc l'opportuniste averti � avec sois des �l�ments qui tiennent plus de la statistique que du pratique, les occasions chaotiques se doivent d'�tre r�pertori�s, catalogu�s, analys�s et exp�riment�s... affins de les re-r�pertorier, re-cataloguer, re-analyser et re- exp�rimenter... tout ca dans le but de les re-re-r�pertorier, etc ... de ces statistiques �pur�s on en arrive � un niveau d'incertitude non concluant qui par d�duction est la limite de l'application apr�s X essai d'une situation. Si X est augment� pour comprendre un ensemble plus vaste, et que la situation final reste invariable, on � atteint ce qui semble bien �tre une �vidence. Les moeurs et coutumes varissent entre plusieurs pays, plusieurs continent, alors il serait judicieux d'exp�rimenter dans un monde local affins de roder vos th�ories avant de les exposer au monde!.. Mais avant de les exposer au monde, il faudrait peut �tre avoir une id�e plus objective de ce qu�il repr�sente.. Comme toute bonne histoire a un d�but, ou du moins une situation initial, je vais encha�ner avec les connaissances que l�on a du monde qui nous entour, depuis le d�but ou ces m�me connaissances nous permettent d�extrapoler, c'est-�-dire le Big-Bang. Cet �v�nement myst�rieux, et � la fois essentiel � notre qu�te de connaissances, a pris place il y a jadis, 15 milliard d�ann�es� sa fait un bout de temps, mais notre bonne vielle terre a quand m�me 5 milliard d�ann�es, en somme, temporelment parlant, c��tait il y a pas si longtemps ;)� surtout si on extrapole que l�univers � encore un bon bout de temps devant lui, plus que vous en avez entk ;). La th�orie va comme suit, de rien, est n�e l�univers� simple non? On � tous entendu cette histoire, mais dans les faits, c�est possible ? Toute l��nergie et la mati�re de cet UNIVERS, m�me les bouts que l�on ignore de ce qui le compose actuellement, (et on est encore plut�t ignorant), �tait jadis packer � un point tangible, et r�el de ce monde qui s�appelait pas encore l�Univers. En fait ce qui se passe avant cette �poque et purement inconnue, et n�est peut-�tre vouer qu�� enrichir la cr�ativit� de nombreuses esp�ces intelligente par de belles sp�culations, sp�culations ironiquement faite par de la mati�re et de l��nergie venant de ce point existentiel de la vie. En fait, le myst�re est complexe, soit, la notion m�me du temps prend ses racines � ce moment m�me de la cr�ation, distorsionn� � souhait par toute cette pr�carit� de mati�re et cette temp�rature extr�me. Mais cette anomalie en avait assez un jour de tourner en rond, donc elle � explos�e, pour le plus grand bonheur de tout le monde finalement.. (avec un peu de recul on le voit bien ) ;) .. De *rien*, s�est entam� l�oeuvre le moins l�che qui ait jamais exist�, Les notions m�me de la physique se sont r�v�l�s � ce moment, l�espace, la mati�re, l��nergie, le temps, surtout le temps, puisqu�il est en soit la cr�ation qui garantie tout les autres. Puis s�en suit une �volutions de la force, d�une super force, l�univers explose en donnant naissance � d�autres forces qui encore aujourd�hui r�gissent encore nos vie. D�s sa cr�ation, la gravit� s�impose d�j� comme une force � part enti�re, tendis que les forces �lectromagn�tiques, nucl�aire (forte, et faible) sont mixer ensemble dans une seconde force qui les unifies toutes.. Puis, � 10^-35 secondes, la force nucl�aire forte se s�pare du groupe de force unifi�e. On a maintenant 3 forces pr�sentes, la gravit�, la nucl�aire forte, et encore ce mixe de forces �lectromagn�tiques et de force nucl�aire faible. Puis vers 10^-11 secondes, la force nucl�aire faible et la force �lectromagn�tique se s�parent en ce qui sera respectivement la m�me chose, mais s�parer ;). Voil� donc le d�but des forces fondamentals de la physique, le tout dans un d�lais de temps que l�informatique actuel ne parvient pas a �gal�. Puis, l�espace en tant qu�entit� s�est mise � s�expandre � une vitesse folle. Mais le tout dans une �chelle de temps tout aussi d�ment. D�s l�explosion, la temp�rature �tait extr�mement �lev�, les particules de mati�res et d�anti mati�res ont livr�e leurs premi�re bataille en r�gle � ce moment, � 10^-43 secondes, d�j� le tout commencait � ce refroidir, la mati�re s�est mise � pr�dominer sur l�anti-mati�re, par le lot incroyable d�une partie par milliard de particule.. :). L�univers a r�ussis le test de la cr�ation, en ne se dissolvant pas lui-m�me par l�anti-mati�re. Puis l�expansion se poursuit � 10^32 secondes, avec la naissance de quarks, de neutrinos, d��lectrons et de photons, des particules encore loin du noyaux atomique que l�on connais actuellement, mais � une temp�rature de 10^27 degr�s Celsius, on peut �tre tol�rant. � 10^-6 sec, 10^13 degr�s, les premier protons et neutrons font leurs apparition dans ce qui �tait le vide, une premi�re. Apres 3 minutes de vie, d�j� les premiers �l�ments d�hydrog�ne faisait leurs entr�es, suivit par l�h�lium. Puis 300 000 ans plus tard, (ce qui est encore relativement bien), les atomes d�hydrog�ne et d�h�lium ont officiellement leurs �lectrons qui gravitent autours, l�univers se refroidit, plus que 10 000 degr�s Celsius. Puis un milliard d�ann�e plus tard, � -200 degr� C. , la gravit�e condense les nuages de gaz qui parcoure l�univers encore pr�caire, des amas de particules se rapprochent, s��chauffent et cr�e les premi�res galaxies, et les premiers soleils de ce monde. A cette �poque, l�espace est encore relativement minuscule, pourtant tout de qui compose l�univers encore de nos jours devait th�oriquement s�y trouver, sous une forme ou une autre, notre soleil, notre terre, les particules qui vous compose, de facon encore bien primaire, non transform�es par les milliards d�ann�es d��volutions qui vont suivre. C�est en quelque sorte l�union entre l�infiniment petit et l�infiniment grand qui prend sa source ici, dans cet amas de gaz encore t�n�breux. En fait on peut m�me dire que philosophiquement � se moment de l�existence m�me de l�univers, tout le potentiel de la vie futur �tait en train de prendre naissance, par la complexit� des forces qui allait b�tir par la chaleurs, les �l�ments, les particules, cette vie non seulement futur, mais probablement g�n�raliser � plusieurs autres esp�ces que l��tre humains, � travers l�univers en entier, laissant la voie ouverte � la cr�ativit� de divers �tres pensant capable d�appr�cier le processus ultime de la cr�ation, peut-�tre mieux que nous m�me a l�heure actuel.. Cette �volution va s�expandre encore et encore, donnant naissance � des soleils massifs qui exploseront pour lib�rer des m�taux lourds. De la mort de ces �toiles pr�curseur se cache une transformation de l�hydrog�ne en h�lium, en carbone, en oxyg�ne, puis en silicium.. et finalement en fer. Fer une mati�re stable qui ne peut �tre fusionn�e pour cr�e de l��nergie. La mati�re ainsi expuls�e du corps m�me de l��toile (et de ce qui l�entoure) se r�pand dans l�espace encore une fois, dissipant sa mati�re sur des milliards d�ann�es. Et c�est cette mati�re l� qui, 5 milliards d�ann�es plus tard, cr�e notre syst�me solaire, puis les plan�tes qui l�entourent, cr�e par l�amoncellement de la mati�re qui se condense en des points gravitationnelle. Ces particule de mati�res soumises � des forces de pression et de gravit�e extr�me d�gagent une chaleur, chaleur qui encore de nos jours continue � alimenter le soleil, et le c�ur de cette bonne vielle terre. Mais cette vision du monde est encore une fois bien relative, car au m�me moment � l�autre bout de l�univers, le m�me sc�nario se perp�tue sans arr�t, en se moment m�me. Puis, ces soleils tout comme le notre cr�e au fils du hasard du d�placement des masses, et des gaz qui les formes, sont des fois simple, double, ou m�me triple� pourquoi pas quadruple.. qui sait ce que le hasard peut accomplir statistiquement avec comme limite un nombre infini d��chantillons. Dans notre cas cependant, le hasard, backer par beaucoup de physique �l�mentaire, a permis � une petite plan�te de roche, qui est situ�e dans l��cosph�re du soleil, une limite ou en gros l�eau peut s��vaporer, et geler, qui permet � ce qu�on nomme la vie, d�exister, enfin � ce jour c�est la conclusion. Il est aussi int�ressant de noter que cette petite boulle bleue, la Terre, doit son champ magn�tique � la rotation � son centre de m�tal (fer) en fusion. Champ magn�tique qui s�av�re tr�s utile pour supporter la vie, en d�viant des rayons cosmiques qui �manent du soleil. Mais la vie en tant que telle s�av�re une myst�re encore entier, l�amoncellement de carbones et d�acides amin�es, dans un milieu aquatique primaire, est en soit plut�t pr�caire comme explication, tout comme la m�t�orite venant de l�espace porteur de vie il y a de ca 3.6 milliard d�ann�es. L�ADN d�finie, de facon tr�s microscopique m�me � cette �poque, un gage de survie de la vie elle-m�me, encodant les sp�cifications pour cr�e d�autres entit�s qui se d�velopperont � leurs tours. Les algues se multiplie, et donne par le fait m�me une source de nutriment � d�autres esp�ces plus �volu�e. La vie se sert de l�oxyg�ne pour accro�tre son potentiel �nerg�tique, puis certaines esp�ces sortent de l�eau pour se perdre dans un monde encore vide d�exploration. Le pouvoir de la vie est en soit un sujet � d�battre. L�adaptation et l��volutions des esp�ces en rapport � leurs besoins, � leurs environnements, comme si la vie ne voulait pas mourir, en cr�ant des mutations au seins m�me des entit�s qu�elle cr�e, la s�lection naturelle ou les plus forts survivent et perp�tuent leurs g�nes � l�esp�ce mutante ainsi super adapter. Il est aussi intriguant de voir en la vie des constantes statistiques bien particuli�res, les arbres et la vie v�g�tal semble avoir un faible pour une structure de type � branche, feuille � .. ces ramifications du frame solide vers d�autres frames moins solide, la logique derri�re cette ing�nierie naturelle est forte, elle permet � l�arbre de grandir petit bout par petit bout, sans que des parties importantes soient mises en p�ril et cause la fin de l�arbre, le tout en maximisant � l�extr�mit� de ses branches l�expansion de l�espace. On note aussi que plusieurs animaux sur terre on et on eu, deux yeux, un nez, une bouche, des poumons, un coeur, un cerveau, un coup, en fait sa semble �tre la norme fondamental du g�nome TERRE, pour les entit�s importantes du moins. Une prise de conscience se fondant sur des faits statistiques qui se perdent dans les abymes du temps. La suite s�acc�l�re par une multiplication de la vie v�g�tale, et animale, des �tres de plus en plus gros peuple ce monde, puis finalement des �tres gigantesques, et des reptiles volant s�en donne � coeur joie pour se nourrir de petits mammif�res.. Un �poque qui aurait bien pu aboutir aux premier �tres dot�s d�intelligence proprement dite, mais un autre �v�nement catastrophique mis fin � cet essai de la vie, un essai tout de m�me tr�s concluant. Encore � cette �poque, des dinosaures, ont du regarder la m�me lune que nous voyons 3 semaines par mois, ce qu�ils devait en conclure, rien de particulier peut-�tre.. mais la lumi�re qui �manait de celle ci devait �tre en soit une source de r�confort.. ( Qwzykx l�ami des animaux ici..) Puis apr�s une bonne dose d��volution, l��tre humain vis le jour, cette �tre physiquement plut�t impotent, qui ne poss�de que comme seul avantage un cerveau plus d�velopp�e, et une paire de main, a sus survivre � une �poque ou ses moyens �taient plus que limit�es, se gossant des bouts de bois avec ce qui l�entour pour chasser, et apprenant des anciens les rudiments de la confection et du maniement des armes, ainsi que comment se gosser des pseudo-manteaux de poils, ou simplement comment appr�ter un sanglier .. L�homme se pr�tait m�me � des exc�s d�intelligence et de cr�ativit� en peinturant sur des murs ses exploits, ces qu�tes, ces r�ussites, il laissait derri�re lui plus que son existence, mais bien celle d�une �poque.(Noter ici l�anc�tre du Zine), mais ou des signes de ces artistes pr�curseurs restent encore sous la forme de dessins, ou d�artefact. Puis plus tard les clans, et ensuite les soci�t�s se form�rent. Des endroits ou collectivement l��tre humain trouvait un avantage � s�entourer du savoir des autres. L��poque �tait dur, et encore plus quand l�homme n�eu que l�homme � craindre. D�s lors la qu�te de la connaissance pris un rythme que ne devait plus ralentir, sa survie en d�pendait, qu�il en soit conscient ou non. Puis les ann�es pass�rent, des territoires entiers firent partie de l�oeuvre de l�homme, des constructions de moins en moins rudimentaire virent le jour, de m�me que des �rudits de l��poque. La guerre �tait toujours en arri�re plan, de plus en plus mortel, et efficace, des l�gions de personnes motiv�es par leur amour de la patrie (tien ca date pas de si t�t) se lancait � la conqu�te, ou la d�fense de territoires. Des h�ros virent le jours, et moururent, mais l�oeuvre faite et accomplie allait changer la g�ographie politique du monde pour des ann�es � venir. A cette �poque de balbutiement, l�homme tentait tout de m�me de comprendre le monde dans lequel il vivait, ce qui l�entourait. La philosophie grec, �poque ou la masturbation intellectuel a belle et bien d�bouch�e sur des principes fondamentaux de la science actuel, que se soit le fait que tout est compos�e de *grains de sables minuscules* ou qu�il ne faut qu�un grand levier pour soulever le monde, sans parler du nombre d'art qui fut un modele d'ideal math�matique ;) Ing�nieux, on se demande m�me comment par la nature de ce qui les entourait ces philosophes pouvaient en venir � de tel conclusions.. tout � fait juste ;).. Par contre, on voit encore bien qu�un Einstein m�me � cette �poque n�aurait pas pus d�couvrir les fondements de la relativit�, les stimulis humains qui l�entourerait � cette �poque de la philosophie �tait tout de m�me limit�es, on aurait peut-�tre m�me vu en lui qu�un pi�tre laveur de toge.. Puis par la suite, vint l��poque de l�exploration, des �pid�mies, et encore de la guerre. L�homme poussait sans arr�te sa d�couverte autant scientifiquement, techniquement et socialement. On note aussi que la religion a �t� un moteur non n�gligeable pour la confiance de l�homme en de grandes causes. Cette conception de la vie apr�s la mort est en soit un r�confort ultime qui devait �tre � l��poque beaucoup plus tangible qu�en se moment (et encore ..) . La d�couverte du nouveau continent, la colonisation de celui-ci de facon peu �thique, mais oh combien efficace, le d�but du commerce international, et avant que l�homme de l��poque puisse prendre conscience dans toute l�ignorance qui l�entourait, l�industrialisation, et les bases du capitalisme firent partie du quotidien. Puis vain la 1ere guerre mondial, une �poque ou les technique de guerre furent raffiner aux go�ts technologique du jour de facon ing�nieuse, une �poque ou le d�veloppement technologique, surtout en mati�re d�armement, fit de grandes innovations, innovations essentiels � la 2e guerre mondial, ou des technologies exotiques comme les avions, sont devenue beaucoup plus perfectionner, et efficace. Ou le fondement m�me de la force contenue dans la mati�re pris enfin tout son sens avec l�apparition de la bombe nucl�aire, une bombe somme toute de faible magnitude (21 Kilotonnes) si on la compare avec les innovations apport�es lors de la guerre froide (51 M�gatonnes), bombe-H, bombe � neutron.. En fait cette lubie de mad scientist prenait ici un tournant qui laisse un froid dans le dos, si la guerre de jadis se passait en voyant de moins en moins le regard de l�autre, cette fois il suffisait d��tre � des milliers de Km de distance et de tourner une cl� pour d�cimer une population enti�re de plusieurs millions de personnes. Puis viens paradoxalement par des proc�der similaires l�exploration spatial de l�homme, premier annimal de la terre � r�ussir cette exploit. De quelques tours autour de la terre, on s�est vite appropri� la lune, pour la science, et aussi quelques notori�t�s politique. Enfin, la suite de l�innovation poursuivit sont cours, avec des navettes r�utilisables, des lanceurs de plus en plus perfectionn�s, des sondes qui eurent pour but d�explorer des mondes si lointains, mais oh finalement combien si proche apr�s tout.. sans oublier cette merveille technologique du monde moderne.. le bras Canadien ;) Et nous voici en 2005 avec un semblant de station spatial international qui se veut un lieu de d�couverte et d�exploration scientifique et aussi avant poste � de traite � pour de futurs missions sur la lune, ou encore vers mars. Le besoin de l�homme � repousser les limites qui lui sont donn�es est en soit une oeuvre intrigante de la vie, de l�intelligence, et de l�ing�niosit�. Et on voit bien cette relation par la complexit�, et la fonctionnalit� de plus en plus d�finie et pr�cises des outils que l�homme continue de construire, et on est bon dans les outils, car on a vraiment eu le temps d�en gosser une couple depuis l�age de pierre ;) En ce d�but de mill�naire, on est peut-�tre une des derni�res g�n�rations d��tres humains � voir la lune encore inhabit�e par l�homme de facon permanente, car il y a depuis d�j� des ann�es au moins quelqu�un quelque part qui dort dans l�espace ;). Les communications explosent, l�homme est plus individuel que jamais, mais solidaire nationalement, quel ironie, quand on pense que dans plusieurs pays le pouvoir est divis�e entre deux grand choix de gouvernement, comme si on avait toujours besoin d�un Yin et d�un Yang .. ne serait-ce que par dissuasion� La condition de l�homme dans l�univers, des sentiments de celui-ci, de exp�rience qu�une personne moyenne peut exp�rimenter dans une vie, de la m�moire qu�il peut emmagasin�e, de la cr�ativit� qu�il peut exprimer, tant d��l�ment qui n�ont pas de limite national, tans d��l�ments qui sont un t�moignage de l��tat de mammif�re engrosser cervicalement qui nous d�crit. Le pouvoir de voir la vie en se basant sur les recherches des autres, sur la conception de ce qui nous entour, par la compr�hension et le raisonnement, c�est un aboutissement curieux quand on y pense, de pouvoir admirer l�univers avec le peu d�information qu�on a � cette �poque, curieux quand on pense qu�on est le 1er essai du raisonnement, le 1er essai que la vie a cr�e d'un �tre qui se d�marque des autres par une capacit� de comprendre et d�crire ce qui l�entoure, le tout en ayant le choix de changer par des moyens cr�atifs son milieux, une des rares esp�ce � adapter son millieux de vie au lieux de s'adapter � celui-ci. Un �tre qui peut comprendre de facon physique et philosophique sa situation dans le monde, ou simplement la notion m�me du mot � monde �. Mais sommes nous si brillant apr�s tout, est-ce que l�homme est digne d��tre vu comme un model? Malgr� le fait qu�on invente des voitures avec des polym�res de plus en plus complexes, des micro-ondes, des processeurs de plus en plus nanoscopique.. le fait est que la majorit� des gens n�ont que faire de tel connaissances, l�homme moyen ne vise qu�� utiliser ce qu�on lui offre, sans trop se poser de question.. si quelque chose brise, on va chez le r�parateur, qui lui-m�me commande une pi�ce neuve, sans r�parer l�ancienne pi�ce qui est d�ailleur fort probablement revendue � une compagnie de recyclage... Ca fait de nous, du syst�me un lieu ou l�intelligence humaine applique des connaissances (plus �conomique qu�environnemental). Donc est-ce pour son propre bien ou pour le bien du peuple qu�on tente de changer le � monde � ? Les grands pionniers scientifiques sont les vrais artisans du monde effr�n� technologiquement dans lequel nous vivons.. et sa serait naif de dire que tout le monde est �gale, car par le sens m�me des int�r�ts qui motive chacun, on voit bien que certaines personnes manipulent ou sont manipul�s, avec ou sans consentement. La capacit� de raisonnement est aussi un facteur intrigant, quand on pense que la majorit� des personnes prennent un choix politique envers leurs pr�sidant/premier ministre la veille m�me de l��lection. Se basant sur la critique du d�bats des chefs, ou le look de la personne, la d�termination qu�il d�gage. Mais dans les faits on peut avoir un leader amorphe, ce qui compte c�est les projets de lois qui en d�coulent.. Les speach publique sont pr�fabriqu�s de toute pi�ces, par une arm�e de personnes en �relation diplomatique� d�on le but est de plaire le plus possible � une masse de personne (d�ont le QI cible est passablement 85) de jouer sur leurs peurs, sur leurs espoirs futurs, la soci�t� d�mocratique est de plus en plus pleine de trous, un syst�me ou les erreurs superpos�es se sont accumul�es offrant � une oligarchie de personne la possibilit� de gouverner un pays, � leurs int�r�ts, incluant la vision du monde qu�ils offres � leurs �lecteurs. Les fonds priv�s sont essentiels � une campagne en r�gle, et � d�faut de pouvoir avoir des investissements que par des belles paroles, c�est par l�argent qu�on vient � bout de faire plier des dirigeants d�entreprise en sa faveur.. Un choix avare, mais payant, surtout quand on appr�cie toute la dynamique de manipulation de masse derri�re tout ca. L'intellect humain, aboutissement logique de la vie (si on se fit � la logique qu'on en conna�t) en fait la seule qu'on conna�t ;) (ce qui serait logique).. bon, si on en revenait au sujet.. Cette intellect qui me pousse � �crire ce soir, vous � me lire, et bien d'autre � vider des poubelles ou perfectionner un g�n�rateur de plasma, on est tous aussi pertinent que des fourmis, et bien qu'on aime pas avoir le r�le de la fourmis, on l'assume assez bien d'un tas de gens, (incluant tout ses inconnues au Mexique). M�me la plus attruiste des personne voit par moment ses semblables comme des obstacles � eviter.. Et oui vous �tes une fourmi, une fourmi de plus dans cette fourmili�re humaine, votre race est votre nationalit�, votre territoire aussi d�finie que les voisins qui peuple d�autres fourmili�re le veuillent bien. Le but est simple, ne pas �tre exterminer.. On attend beaucoup d�une fourmi, beaucoup trop, beaucoup plus que ce qu�elle voudrait faire de sa vie, elle doit travailler, apporter de la bouffe au nid, se battre en cas de danger, et malgr� tout elle se prom�ne non chalament dans les pr�s, jusqu�� ce qu�un stimuli ext�rieur vienne menacer sa vie, et m�me � cette grosseur l�esprit de survie est remarquable. Je m��tonne des fois de voir des strat�gies diff�rentes chez des bestioles, la fourmi par exemple va fuir, bouger plus vite pour se sauver ou se d�fendre.. mais pour l�araign�e la situation est tout autre, plus sneaky elle va faire la morte, et elle est plut�t convaincante, si ce n��tait de mon exc�s de QI, il s�agit la d�un truc qui marche m�me avec le chien le plus brillant� J�crois qui a un parall�le � faire avec l�esp�ces humaine, il y a des ces gens qui vont se d�battre pour se sortir d�une situation, d�autre qui vont simplement attendre dans le calme que la situation passe, quel situation est la meilleur, myst�re, ca d�pend de la situation et de votre chance se matin la ;) C�est passionnant de voir chez des �tres plus petit que son ongle, � quel point des comportements de la vie de tout les jours peuvent �tres appliqu�s, � quel point on peut trouver une r�action famili�re, et compr�hensible. M�me chez un chat on peut d�celer ses essais de � sneaky cat � ou ses routines de nourriture, ce que cette boulle de poil offre de plus que des insectes c�est une communication compr�hensible r�ciproque, simple soit, mais quand m�me pr�sente, quand il vous regarde dans les yeux en miaulant se tenant � un point pr�cis de votre appartement, on d�duit ce qu�il d�sire, ce qu�il veux, et apr�s tout s'il nous en fait part, c�est qu�� quelque part, lui aussi estime de vous que vous allez le comprendre.. Si vous avez du temps � investir dans les fondements de la physique moderne, je vous sugg�re � The elegant univers � .. disponible chez votre provider peer-2-peer local.. Je pense pas qu�on va vous en vouloir de vous instruire par vous m�me ;) Sa jase de concepts pass�e/pr�sent/et futur ;) .. une facon original et �mouvante de voir l�univers comme un tableau de Dali.. , et on est encore loin de la collection compl�te ;)