Mindkind - Database philo/mkd_chaos.txt.

    .-------[MinDKinD100\#100.07]------- ---- - -------. [M]ind[K]ind #100
    |                                                  | - 24/08/2003
    | . * le chaos (pour illaitr�s)                    | - h3
    |                        aka                       '------------- ----.
    |                           "OMG the world is float!"                 | 
    |        _____                                                .       |
    '------------------------[ again, again n again.]---- ----------------'         

                    

                    135876495874984631864862158432485149798 *
                    594989101078L03242792472948729487231104
                    185159215328549E89743624439255872575821
                    4189234t81929448C2H29484294892449248424
                    292837239249583A4O958542983452985419511
		        319874191719827419S02341873491847915762

                    
    			   by h3 at mindkind dot org



                              [ P R � L U D E ]


	Imaginez  que les choses les plus  complexes  qui compose notre univers 
ob�issent  �  des  algorythmes  simples,  mais  it�r�s � l'infinis g�n�rant des 
syst�mes compl�xes et apparament al�atoire ? Depuis longtemps les scientifiques
avaient  une  notion  du chaos, du "random", mais maintenant ils sont conscient 
que ce chaos contient  un certaint ordre  et  on  d�vlopper  des  m�thodes pour
le mesurer et l'illustr�. Les premi�res recherches �clair�es sur  ce  sujet  ne 
datent pas d'hier, en fait personne sait qui exactement � d�couvert ce principe
, mais l'un des premier �  l'avoir r�ellement observ� est Edward Lorenz en 1960 
Sur  un  ordinosaure  (un  Royal McBee qui ressemblait plus � un tas de tubes � 
vide et de fils qu'un ordinateur) il simulait la m�t�o sur sa bombe avec ses 60 
op�rations  seconde.  c'est en  1961  en voulant simul� une m�t�o virtuelle sur 
sont ordinateur qu'il vis  pour la premiere fois le chaos, il entras des donn�s
m�t�o r�el  comme  point de d�part et d�merra sont application. Apres avoir �t� 
cherch�  du  caf�  pour  s'�chapper  du  bruit  de  sont ordinosaure, il eu une 
surprise,  le  graphique  trac�  par  sont ordinateur ne correspondait pas � la 
r�alit�, en fait, au d�but du graph les lignes se suivait de pr�s, mais plus le
graph  avancait  dans  le temps plus la  simulation  virtuel se d�tachait de la 
ligne repr�sentant la m�t�o  r�el  en  pr�sentant  des  courbes de plus en plus 
chaotique pour  enfin  n'avoir  plus  rien � voir avec la m�t�o r�el. Selon ses
calculs les 2 courbes auraient du se suivre, c'est un peu comme si un enfant de
1ere ann�e s'amuse  avec sa  calculatrice et assaye 2+2 et sa donne 4, alors il 
assaye 4+4 et s'attend a 8 mais rencontre 9. Apr�s r�flexion il r�alisat que ce
n'�tait pas sont  ordinateur  le  probl�me, mais sa pr�cision. Sont royal mcbee 
calculait des nombres � 6 chiffres (1.234567) mais pour des raisons d'�conomies
de  papier  il  arrondissait  �  la 3ieme d�cimal (1.234) ce qui, pensat-il, ne 
donnerait  pas  de  diff�rence  notable  sur le  produit final, mais vus que le 
processus de calcul est it�r� pratiquement ind�finiment, la petite erreur  qui
s'est lentement gliss� au  d�but  est  rapidement devenu une grosse qui prenait 
une ampleur exponentiel et erratique, n'importe quel math�maticien ou physicien
aurait vu la une bizzarerie,  quelque  chose sans interrets r�el qui n'� pas ce 
sens ni de solutions,  mais  Lorenz,  un  m�t�orologue  y  vit le chaos pour la 
premi�re fois. La seconde grande d�couverte  de  Lorenz fut de trouver un moyen 
de  repr�senter  graphiquement l'ordre  dans  le  d�sordre  avec  un  graphique 
cart�sien � 3 dimensions appeler "Attracteur de Lorenz", avec un op�ration non-
lin�aire simple iterr� a l'infinis il obtenait des nombres � virgule  "random", 
ces  nombres n'avaient  aucune suite   logique  et  ne  semblait  avoir  aucune 
correlation,  aucun  moyen  de  dire  qu'il  provenait  de la  m�me op�ration.. 
pourtant,  en utilisant cette op�ration pour trouv� des points sur un graphique 
cart�sien � 3 dimensions, formait, au grand� �tonnement  de Lorenz, une  boucle 
infinie  clairement  d�finie  et  qui  semblait  ob�ire  � une trajectoire tr�s 
d�terministe, m�me  si aucun  point  ne  se  touchait, ni se r�petait. Il avait 
d�couvert  l'ordre  du d�sordre, les  lois qui r�gissent le fondement du chaos, 
ces m�me  lois  qui allaient dans les ann�es 80 d�finir les syst�mes dynamiques
(pas le  genre de choses  qui  nous  montre dans  les �coles, �  vrai dire  les 
notions que nous apprenons a l'�cole date tout simplement de l'antiquit�).

	C'est bien  beaux  d'avoir  trouv� un moyen de visualis� le chaos, mais 
quoi peux  servir  de  une  telle notion ? Aussi inutile que sa puisse para�te, 
c'est une notion  qui  aide  �  comprendre les comportements �rratique et � les 
immiter. Les deux exemples pratique  les  plus simples que j'ai trouver sont la 
poussi�re de cantor et.. la formation de flocons de neige.

La poussi�re de cantor

	En T�l�communication  le bruit est un ph�nom�ne bien connus, ce sont de
petites  intermitances  dans  le signal  qui  � premi�re  vue  sont  totalement 
chaotique,  elle  brouille   le   signal  et   rend  difficile de  d�codage  de
l'information.  Formuler  une  op�ration  math�matique  lin�aire qui �limine ce 
bruit  est totalement impossible, de plus un tel code se composerait de millier 
de  lignes  de  codes.  avec  la  th�orie  du  chaos, une simple opration comme
x>> = x-(x/3) r�soud le  probl�me  de  bruit  a  n'importe quelle �chelle. pour 
figurer  la  poussi�re  de cantor (chaos.jpg, fig. 1) prennez une ligne droite, 
divisez la en 3.  Ensuite  enlev� la section du milieux. Puis avec les 2 lignes 
droite qui  reste, r�petez  l'op�ration, jamais vous n'atteignerez la valeur 0, 
les valeurs restante  sont  appelez "poussi�re de cantor", cette m�thode permet 
de calcul� avec pr�cision, peu importe l'�chelle de temps, l'arriv� d'erreurs �
premi�re  vus   chaotique   dans   les   lignes  �lectriques  ou  les  circuits 
�lectroniques.. magique :0


   			   POUSSI�RE DE CANTOR
                          (voir chaos.jpg fig. 1)

			000000000000000000000000000
			000000000000000000000000000  
		
			000000000         000000000 
			000000000         000000000
		             
			000   000         000   000
			000   000         000   000
			
			 0     0           0     0
			 0     0           0     0



	Pour ceux  qui  ont  encore  aucune  id�e  de ce don je  parle, je vais 
y'aller  avec  une approche plus  g�om�trique.  Si vous regardez la figure 2 de 
chaos.jpg, vous pouvez  voir un  triangle �quilat�rale noir, puis au tier de sa 
longueur j'ai ajout�  un  triangle  du  tier  de sa grosseur et ainsi de suite, 
j'aurais pu  continuer  a l'infinis, trac� un cercle autour du triangle initial 
et l'air total  de  la  figure final ne d�passerait pas celle du rond qui borde 
les pointe  du triangle initial. Les flocons de neige sont form�s � partir d'un 
algorythme semblable,  ajout� la  d�pendence  sensitive � l'�tat initial et les 
interf�rences, et  vous avez  une multitudes  de flocons tous diff�rents les un 
des autres, mais tous semblable.. comme dans la nature :) 





     ?  .\\-.
        |   o|__
        |C  �� /
        |   /��
        \__o)__                                                        
        ((|�))���                                                     [����]
        /����|    La turbulence                                     |)|����| 
        |`| ||         des                                          |||    | 
        | |_||\          fluides..                    �.'`',        |||____|
        |__3_|3.                                  �.'`    (���������).)�__/
          |�|   `.                           .�.'`         \�������/||��||  
          | |     `.�.'`'.��.'`'.��.'`'.��.'`               | �����|�|  ||
          (� �\                                            (�   � ��)/  ||   
           ������������������������������������������������������������������\
                                                                              |  
	Un autre domaine d�laiss�  par  les  science  que la th�orie du chaos |
viendrait illumin�,  est  la  turbulence  des  fluides.  Avec  des op�rations |
lin�aires, les  super  ordinateura  n'arrivaient pas simul� la turbulence des |
fluides a  long  therme.  A  vrai dire, ces   m�mes  super  ordinateurs �tait |
incapable de suivre la turbulences de fuildes plus de quelques secondes et ce :
dans  un  centimetre cube de  liquide  "virtuel".  Pourquoi  ?  Parce  que la ;
r�action  des  fluides  est  totalement  impr�visible,  en  r�alit�,  il  est ,
r�visible, mais pas dans  sa totalit�. Si l'on verse un liquide dans un autre ;
liquide, on  peu s'attendre  a  ce  que  le  liquide vers�, par la gravit� se 
retrouve dans le fond du contenant, puis remonte en cr�ant un remous (qui est ,
en r�alit� 2 tourbillons invers�s), mais au fur et a mesure que l'on augmente .
le d�bit,  les  tourbillions  acc�l�rent,  ils  peuvent  changer  de  direction 
spontan�ment avec une impr�dictibilit� implacable, pour finalement atteindre un
point critique  ou  il sont "brouill�s". Ce processus est un casse t�te pour les 
math�maticiens,  et  jusqu'aux 20ieme  siecle,  �tait  consid�r�  comme �tant du 
domaine �sot�rique, purement �ratique. Mais les plus grand penseurs n'on pas pus
se  r�soudre  �  un  simple  d�sordre  inexpliquer,  ils savaient que deri�re se 
comportement  al�atoire se  cachait  une  structure bien organis�e. En fait, une 
chose plus  que  tout  autre  cachait  la structure du chaos � l'�tre humain; le 
bruit (noise).   Comme je  l'ai  mention�,  le chaos est compos� d'une op�ration 
simple r�p�t�e  � l'infinis, par contre, ses op�rations n�cicittes des variables 
pour pouvoir  changer  de  leur  �tat initial, ces variables sont en r�alit� des 
perturbateurs  ext�rieurs   au   ph�nom�ne  observ�,  exemple;  pour  l'eau,  un 
perturbateur  pourrait  etre  la  chaleur  d'un  deuxi�me  liquide vers� dans un 
premier, ou  une  vibration  alt�rant  le  tourbillons  d'un  liquide. La ou les 
math�maticiens   et   autres  scientifiques  on  "gl�",  c'est  que  malgr�  les 
perturbations  ext�rieurs,  le  liquide gardait,  jusqu'�   un  certain point de 
rupture,  un comportement qui tendait a suivre sont �tat initial (cette tendence 
� suivre un comportement est appeler attracteur �trange, ils sont partout autour
de nous, tout le monde � les capacit� de les voir ou les trouver). Si  pour  une 
exp�rience,  l'�tat  initial  d'un  liquide est un tourbillon, on lui inflige de 
petite vibrations,  le tourbillons  se brouillras  probablement l�g�rement, puis 
quand les  vibrations  seront  interrompues,  l'eau  recommencera a tourbillonn� 
comme �  sont  �tat initial,  mais en d�croissant si l'effet de tourbillon n'est 
pas  maintenue  artificiellement,  pour  finalement  retourn�  �  sont r�el �tat 
initial,  qui  �tait  l'inertie.  Le  ph�nom�ne  en tant que tel semble simple � 
premi�re    vue,   mais   sont    comportement   toutefois   est   impossible  � 
calcul�   lin�airement,  et  sa  �  agac�  les  math�maticiens  depuis  que  les 
math�matique  existe.  Puis  un  jours quelques jeunes exentriques d�nigr�s pour 
leur projets "hors normes" sont arriv�s avec la solution du chaos. Mais  comment 
l'appliquer  �  la  turbulence  des  fluides ? de la m�me fa�on que le reste. Un 
scientifique isola  une  goute  d'helium  liquide dans une petite capsule d'aci� 
inoxidable pour limit� les turbulences possible � l'int�rieur. Puis en l'isolant
dans  un  bain  d'azote  liquide  il  r�ussit  � l'isol� des vibrations du monde 
ext�rieur, puis en  r�chauffant  un  peut  le  dessous de sa capsule il  cr�a un 
tourbillion  pratiquement  sans  "bruit"  ce  qui  lui  permit de d�cortiqu� les 
�quations  math�matique  de  base  qui  r�gissait les mouvement de l'eau, par la 
suite il  n'avait  plusqu'� les iterr� � l'infinis pour avoir le comportement de 
l'eau.  Par  contre, cette �quation vous donnerais le mouvement de l'eau sur une 
planete absente  de gravit�, ou il fait 251 degr� celsius et qui n'aurait aucune 
vibration. Donc  pour  avoir un comportement r�aliste vous prenez ses �quations, 
les iterr�s,  mais  en  tenant  compte  des  variables  externes,  ces variables
externes engendre  le  chaos dans l'�quation simple de la vie, mais la structure 
principale de  l'�quation  reste,  donnant un semblant d'ordre dans le d�sordre, 
parfoit imperceptible � l'oeuil humain. Ce qu'il y'� de bien  avec la th�orie du 
chaos, c'est  que  contrairemnt au op�rations lin�aire, il n'est pas obligatoire 
de poss�d� toute  les  variables  d'un comportements, par exemple, vous pourriez 
faire un graphique a partir de donn� basique, comme l'op�ration � iterr�, et une
seule ou 2 variable suffirait pour  observ� des comportements �rratique soumis a 
des variables externes, bien sur elle ne donne pas l'exactitude de l'infinis, ce
qui serait impensable,  mais  elle donne le "range" de possibilit�s soumis � une
ou plusieurs variables, les graphiques qui en r�sultes sont �tudi� sous forme de
fractales.

	J'ai    trouver sur le net une macro de program 3d qui sert a reproduire 
l'attracteur  de lorenz  en  3d sur PovRay, c'est pas un language connus mais sa 
donne une  id�e  de  la  simplicit�  de la chose, ce  code donne des coordonn�es
cart�sienne  avec pr�cision  sans jamais donn�  2 fois  la m�me  coordonn�  tout
en restant  dans un  "range" sp�cific  (l'attracteur), sa  peu paraitre inutile,
mais dans une m�thode d'encryptation lourde sa prendrais tout son sens.


//PovRay 3.5 macro by Marcus Fritzsch 
// N = number iterations
// h, a, b, c: initial parameters
// x0, y0, z0: start-location
// rad = radius of the spheres that trace the attractor

#macro lorenz(h, a, b, c, x0, y0, z0, N, rad)
// use it like: 
// lorenz(0.001099, 10, 28, 8/3, 0.0001, 0.0001, 0.0001, 350000, 0.04)
   #local i = 0;
   union {
   #while (i < N)
       #local x0 = x0 + h * a * (y0 - x0);
       #local y0 = y0 + h * (x0 * (b - z0) - y0);
       #local z0 = z0 + h * (x0 * y0 - c * z0);
       #if (i > 100)
           sphere { 
              , rad 
              pigment { color rgb  } 
           }
       #end
       #local i = i + 1;
   #end
   }
#end


//le algorythme en C

C source
��������
#include "stdio.h"
#include "stdlib.h"
#include "math.h"

#define N 10000

int main(int argc,char **argv)
{
   int i=0;
   double x0,y0,z0,x1,y1,z1;
   double h = 0.01;
   double a = 10.0;
   double b = 28.0;
   double c = 8.0 / 3.0;

   x0 = 0.1;
   y0 = 0;
   z0 = 0;
   for (i=0;i 100)
         printf("%d %g %g %g\n",i,x0,y0,z0);
   }
}


vous pouvez visualiser les r�sultat de ces code ici:

  - http://astronomy.swin.edu.au/~pbourke/fractals/lorenz/
  - http://www.sat.t.u-tokyo.ac.jp/~hideyuki/java/Attract.html

c'est  ass�  impressionnant  :)  Vous  pouvez  m�me  jouer  en  temps  r�el avec 
l'atracteur de  lorenz, vous  po uvez regarder  l'attracteur  se  former  de lui
m�me ou  jouer avec en simulan du bruit,  qui pertube sa course, comme n'importe 
quelle bruit  perturbant un  systeme  dynamique,  enlevez se bruit et le systeme
tente naturellement a retrouver son parcours initial. Un applet  java le  simule
� cette adresse:

  - http://bloch.ciens.ucv.ve/~felix/Java/NonLinear/Lorenz/
  - http://www.expm.t.u-tokyo.ac.jp/~kanamaru/Chaos/e/Lorenz/Lorenz.html

version flash:

  - http://gozz.com/portfolio/lorenz_attractor/

pour les programmeurs C qui veulent s'amuser un peux :p 

  - http://www.gweep.net/~rocko/sufficiency/node25.html

pis les real hardcore qui veulent se mont� un systeme �lectronique analogique 
pour vision� l'attracteur dans sa perfection imparfaite;

  - http://frank.harvard.edu/~paulh/misc/lorenz.htm

pis imaginez ceux qui sont encore plus leet pis qui on d�couvert une corr�lation
dans ces suites de chiffres avec comme seul aide un bout de papier ou le premier
mod� de calculatrice portable;

  - http://www.math.uu.se/~warwick/main/rodes/ResultFile

maintenant vous pouvez m�me le faire runn� sur palmOS :p

  - http://www.micoks.net/~dbennett/la.html

  
                              [ T H I N K E R S ]


	La raison pour  laquel  que les m�rites d'avoir d�couvert le chaos �tait 
difficillement attribuable est que plusieurs g�nies de notre �poques l'on vus ou
entre vu.  Peut  on  sus  le  reconnaitre, mais dans plusieurs pays � travers le 
monde, dans plusieurs domaines, certains l'on explor�;

	     poincar�

             Khun 
            
	     James Yorke

        1960 Benoit Mandelbrot
	     D�partement de recherche pure IBM

	     Un espece de crink qui a vus l'ordre dans le d�sordre
	     � travers la premi�re calculatrice portable de HP, une 
	     brette qui pouvait prendre plus d'une minute pour 
             r�soudre une op�ration complexe .. eh criss de motiv� :p	
	     
             premier article sur le chaos:
             flot non-p�riodique d�terministe
	     (Deterministic Nonperdiodic Flow)
             139 vol. 20 Journal of the Atmospheric Sciences
 		
	1961 Edward Lorenz - Californie, USA.
             MIT Massachusetts Institute of Technology

     	     Lorenz voit le chaos dans un graphique 
 	     m�t�orologique. 
        1963 Puis il d�couvre le premier attracteur �trange,
             qu'il appelra l'attracteur de lorenz (eh.)


 	1974 Mitchel Feigenbaum - Los alamos, Nouveau Mexique.    

	     Division T (Th�orique) 			
	     L'un des pionnier de la th�orie du chaos, il 
	     �tablie les principales r�gles qui r�gissent
	     le chaos alors qu'il travaillait pour les usa
	

	1977 Robert Stetson Shaw - Santa-Cruz, USA.

	

	     Stephen Smale - Californie, USA.
	     Universit� de Berkeley

	

	biensur la  liste  des pionnier du chaos est loin d'etre exaustive mais, 
les domaines  touch�  sont  si  nombreux  que  souvent,  plusieurs chercheurs on 
travailler  des  ann�es en marge  des soci�t� scientifique, parce que leur id�es 
�tait consid�r� comme �sot�rique, et pr�s 30 ans  se sont  �couler avant que les 
experts des diverses domaines puissent se rencontrer et �changer  leur id�es sur 
le sujet, qui lit le Journal of the Atmospheric Sciences ?


Fait amusant:
	
	  Vers la fin des ann�es 70, sur le  campus de  l'universit� de 
	  santa cruz,  Robert Stetson  Shaw  s'amusait  avec  un  autre 
	  aurdinosaure qui repr�sentait un impasse dans le d�vloppement 
        technologique.      Le  systron-donner  �tait  un  ordinateur
        analogique,  pour  programmer  il  fallait carr�ment cr�er du 
        hardware  qui  simulait les op�rations et le brancher dans le 
        systron-donner, donc  il  programmait  avec du hardware, mais 
        �tant analogique, l'ordinateur �tait approximatif et beaucoup
        moin pr�cis que les ordinateur bas� sur le syst�me binaire et
        les r�sultats de  simples  �quations lin�aire �taient souvent 
        al�atoires, ses  calculs  �tant  bas� sur des oscillations au 
        lieux de  1  et  0.  Mais  dans  la  recherche du chaos cette 
 	  in�xactitude remplacea  le  facteur  "random" de la nature et
        lui permit  de vision� une boucle qui se r�petait a l'infinis
        parfaitement sans  jamais pass� par le meme poin x\y\z, et ce 
        � l'aide  d'une  simple op�ration non-lin�aire que l'on appel 
        "attracteur de lorenz".



                              [ C O N C L U S I O N ]	

	En conclusion, la  th�orie  vulgaris� peux vous sembl� de peux d'utilit� 
ou simplement  un  "fait" amusant  de la nature ou des math, mais en fait, cette 
th�orie  est la  th�orie de  l'universalit� que  tout  le  monde attendait, elle 
permettra surment un formidable bon en avant dans le domaine des biotechnologie,
de  l'informatique et  surement  de  la nanotechnologie,  les  applications sont 
r�ellement infinies, d'ailleur  la  raison qui ma pouss� a lire se livre est que
je cherchais  � d�vlopper une technique de templating universelle en php avec un 
model OO,  et je  ne regrette  pas du  tout de  l'avoir  lus. La nature � encore 
r�ussit a  nous surprendre,  � nous montr�  que nos  connaissances nous  rendent
ignorant, la preuve; j'y ai m�me trouver la r�ponse de la complexit� des femmes!
Selon la  th�orie du  chaos, des  syst�mes simples  engendres des  comportements 
compliqu�s et des syst�mes compliqu�s engendre un comportement simple. ET VOILA!

	Pour finir  sur  une  note un peu plus s�rieuse, je vous laisse quelques 
sites que j'ai googl� � propos du chaos, si le sujet vous interresse je vous
invite � faire pareil, les domaines ou peut s'extrapoler le chaos sont ass�
surprenants quelque fois. 


site interressant sur le chaos:

Attracteur de Lorenz

        - http://www.wam.umd.edu/~petersd/lorenzfast.html (en mouvement)
        - http://archive.ncsa.uiuc.edu/SCMS/DigLib/stills/0892.hobill.lg.gif 

Chaos work group at Univ. of Maryland 

	- www-chaos.umd.edu  
	- http://www-chaos.umd.edu/Spheres_Photos/spheres_photo.html

The Mandelbrot and Julia Sets: A Toolkit of Dynamics Activities 

	- http://math.bu.edu/DYSYS/explorer/index.html


Livre � lire absolument (cet article en est un r�sum� tr�s sommaire) :

        - Gleick: La th�orie du chaos; vers une nouvelle science.
                  �ditions Champs Flammarion



                              [ P R O L O G U E ]	

	La lecture  du  livre de Gleick m'� fais sourrir plus d'une fois, car en 
plus de  donn�  une  notion  de base  bien  expliqu� de  la th�orie du chaos, il 
explique comment les  experts on  fait leur  d�couvertes,  donc  tout le long du 
livre on entend parler d'ordinateurs.  On peu  difficillement s'imagin� ce qu'un
g�nie comme  Lorenz  qui  travaillait  sur  un  ordinateur qui fesait 60 calculs 
seconde trouvrait  � faire sur un dual pentium 4 3GHZ. Plus le livre avance dans 
l'histoire, plus  la  technologie  de  l'informatique  avance  aussi,  quand des 
informaticiens  ce  m�lent �  la  partie sa devient vraiment int�rressant; James 
Crutchfield, un  jeune californien qui fesait du skateboard, dans le livre on le 
d�cris  comme  ceci;  "Crutchfield  appartenait  �  la  premi�re  g�n�ration  de 
math�maticiens pour  qui  la  logique  des  microprocesseurs  �tait  un  langage 
naturel." Un autre qui m'� fait rire; "Farmer se fit une sp�cialit� du  piratage 
des temps de  calcul.  Un  �t�  il fut invit� au National Center for Atmospheric 
Research �  Boulder dans le  Colorado, o� d'�normes ordinateurs effectuaient des 
recherches  sur  des sujets tels que  la simulation  globale du  temps,  et  ses 
capacit�s �  siphonner  du  temps  couteux  sur  ces  machines  stup�fi�rent les 
climatologues". Bref, si  vous  n'�te  pas un fan des anecdotes historique lisez 
plutot un livre ax� sur les syst�mes dynamique, qui  sera  surement  plus  de la 
th�orie pure.